Yoann Usai Wikipédia – Un journaliste français est Yoann Usai. Il a toujours eu un intérêt pour la politique, mais ce n’est qu’à l’âge adulte qu’il a décidé de poursuivre une carrière dans les médias. Au Studio Ecole de France, il s’initie aux reportages radiophoniques, aux interviews et à d’autres tactiques journalistiques. Les ondes de RTL sont devenues sa priorité et il a commencé à y travailler.
Assistant de Christophe Barbier, il a pu apprendre les ficelles du métier auprès d’un maître. En 2011, Yoann Usai rejoint la rédaction d’iTélé, puis rejoint la rubrique politique à partir de 2015. Le parcours de journaliste se poursuit sur la chaîne d’information Canal+ après le rebaptisation d’iTélé en CNews en 2017.
Parallèlement, il co-anime l’émission politique hebdomadaire Le Grand Rendez-vous sur Europe 1 et CNews avec Nicolas Barré et Michal Darmon depuis avril 2021. Le 23 juin 2021, le présentateur de CNews Yoann Usai et ses collègues reprochent à Libération de se moquer de leur agence de presse en page principale.
En juillet 2021, il remplace Pascal Praud pendant ses vacances d’été et anime L’Heure des Pros sur CNews. Le journaliste Yoann Usai est né à Clermont-Ferrand, en France. Il s’est toujours intéressé à la politique depuis son adolescence, donc un travail dans les médias lui semblait tout à fait logique. Les techniques d’interview et de reportage faisaient partie de celles qu’il maîtrisait au Studio Ecole de France à Paris.
Son métier d’assistant de Christophe Barbier lui permet d’apprendre les ficelles du métier auprès du maître. Yoann Usai travaille chez iTélé depuis 2011, d’abord à la rédaction avant de rejoindre la section politique en 2015. CNews a remplacé iTélé en 2017, mais le journaliste continue à couvrir l’actualité sur Canal+. De plus, depuis avril 2021, il co-anime l’émission politique hebdomadaire Le Grand Rendez-vous sur Europe 1 et CNews avec Nicolas Barré et Michal Darmon.
Lorsque Yoann Usai et ses confrères de CNews ont vu leur parodie de l’agence de presse figurer en première page du journal Libération le 23 juin 2021, ils sont descendus dans la rue pour protester. Il a repris l’émission CNews de Pascal Praud, L’Heure des Pros, en juillet 2021 alors que Praud était en vacances.
Pour Yoann Usai, son chez-soi sera toujours à Clermont-Ferrand. Il était extrêmement intéressé par la politique dès son plus jeune âge, mais personne dans sa famille ne partageait cet enthousiasme ni ne le poussait à s’y consacrer. Il avait dix ans lorsqu’il s’est intéressé pour la première fois à la politique. Très tôt, il a décidé de se lancer dans le journalisme parce qu’il était très intéressé par la couverture politique.
Depuis, il y concentre toutes ses activités académiques. Les interviews et les reportages à la radio faisaient partie des sujets qu’il a abordés pendant son séjour au célèbre Studio École de France. Il travaille ensuite comme assistant de Christophe Barbier, où il acquiert de l’expérience et voit son intérêt pour la politique se renforcer.
Après avoir été rédacteur à iTélé (anciennement CNews) de 2011 à 2015, il rejoint le service politique de la chaîne. Il a contacté Yves Calvi, un éminent journaliste et héros professionnel. Il s’est vu confier des responsabilités accrues après qu’iTélé soit devenu CNews en 2017 et il a également commencé à faire des reportages pour Canal+ à cette époque.
Il revient ensuite en avril 2021 pour co-animer l’émission politique hebdomadaire Le Grand Rendez-vous Europe 1 sur CNews et Les Échos avec Nicolas Barré et Michal Darmon. Alors que Pascal Praud était en vacances en juillet 2021, il a été sollicité pour présenter l’émission quotidienne phare de la chaîne, L’Heure des Pros.
L’été est la principale saison de travail. L’émission de débat de Pascal Praud sur CNews sera animée par de nombreux animateurs suppléants le temps qu’il prenne une pause bien méritée. Son remplaçant intérimaire, Yoann Usai, sera en poste du 19 au 23 juillet 2021.
Pouvez-vous me dire qui est le présentateur du journal télévisé de cette chaîne de télévision ?
Pourquoi ne faisons-nous pas appel à des professionnels ? Une émission de CNews extrêmement populaire diffusée chaque jour de la semaine. Les deux diffusions de l’émission en semaine (de 9h à 10h30 et de 20h à 21h) attirent plus de 600 000 auditeurs à chaque mot. Le succès retentissant du concert est en grande partie dû au chef d’orchestre Pascal Praud et à ses chroniqueurs, dont Gérard Leclerc et Laurent Joffrin.
L’absence de l’artiste régulier n’entraînera pas l’annulation du spectacle. CNews a choisi de remplacer Emmanuel Macron lors de ses vacances cet été en lui envoyant une flopée de journalistes qui n’hésitent pas à lui poser des questions difficiles. Après avoir partagé l’animation avec Sami Sfaxi pendant une semaine, Yoann Usai reprendra seul L’heure des pros.
Fascination constante pour la politique
Natif de Clermont et aujourd’hui trentenaire, ce journaliste a rejoint ITélé (anciennement Cnews) en 2011 en tant que correspondant politique. Gala l’interviewe et il lui raconte son étrange travail alors qu’il n’avait que 10 ans. Il était « collé à l’écran de télévision » lorsque l’administration a répondu.
Un travail en politique est cependant totalement hors de question. Il m’a dit, ainsi qu’à mes collègues : « Il y a trop de coups à encaisser. » Travailler comme journaliste est le métier qu’il souhaite exercer. Il n’y a pas deux journalistes éminents dont il respecte grandement le travail. Il fut quelque temps l’assistant de Christophe Barbier. J’ai beaucoup appris de lui, a-t-il déclaré en substance. Le professionnalisme et l’esthétique raffinée d’Yves Calvi l’impressionnent.
Cette personne préfère travailler plutôt que d’avoir une vie personnelle. Il vit seul. Celui qui “n’aime pas faire des vagues” continue d’aller dans le bon sens malgré les bouleversements. Il vient de prendre la relève comme animateur des Grands. Rendez-vous Europe 1, CNews et Les Échos. Ses autres responsabilités incluent la production de L’heure des pros pour la semaine du 19 au 23 juillet 2021.
Et certainement pas en la copiant directement. Les migrants sont la cible d’attaques incessantes, dédaigneuses et calomnieuses de l’extrême droite, toutes lancées avec le culot zemmourien. Avec une immunité illimitée, et souvent sans démenti de la part des médias, du moins lorsque ces médias ne sont pas activement complices (comme c’est le cas de CNews).
Le nom de Nicolas Dupont-Aignan peut vous paraître familier ; c’est lui qui a rapporté avoir rencontré à la frontière turque des Syriens qui lui avaient indiqué vouloir résider en France pour bénéficier des aides sociales. Samedi 29 octobre, la représentante européenne de LR Nadine Morano a fait la Une de France 2 après avoir rapporté depuis Salamé que certains réfugiés dans les camps avaient vendu leurs enfants pour payer le dangereux voyage à travers la Méditerranée.
Elle est fière de “parler beaucoup avec les préfets”, qui lui ont fait savoir qu’il existe des parcours pour les réfugiés en France. Le nombre d’OQTF et de mineurs étrangers, ainsi que l’argent que Wauquiez aurait économisé dans sa région (lorsqu’il a été surpris en train de dépenser sans compter pour les déjeuners de ses invités au tarif de 1 100 euros chacun), sont rendus publics.
On ne sait pas pourquoi elle est la politicienne vedette de ce voyage si ce n’est pour montrer son soutien à Vladimir Poutine et à Nicolas Sarkozy (qui, selon la rumeur, s’est rendu en Géorgie en 2008 pour négocier la fin de la guerre de Poutine). Elle affirme catégoriquement que « le logement des migrants » et l’Assistance médicale de l’État (AME) constituent ensemble « une pompe d’aspiration pour l’immigration ».
Au final, c’est un Laurent Jacobelli, RN, tout sourire, qui a fustigé les migrants venus en France pour l’aide sociale que la France leur offrait dimanche sur France 5, dans C Politique. Il a souligné que, contrairement à la loi, ceux qui séjournent illégalement dans le pays devraient avoir droit à l’aide sociale.
En réponse au déni catégorique de Didier Leschi (un étranger en situation irrégulière ne bénéficie d’aucune allocation), le député RN (un ancien collaborateur de Dupont-Aignan, cela dit en passant) lui indique que les demandeurs d’asile ont droit à une indemnisation ; sauf que les demandeurs d’asile ne sont pas des immigrants illégaux ; ils ont un statut constitutionnel.
Jacobelli tente de détourner les critiques sur sa mauvaise foi en affirmant que les immigrés illégaux sont éligibles aux prestations de l’AME. Pour Mosi, il est important d’honorer toutes les personnes figurant sur la liste, de « vos grands-parents » à ceux de Jordan Bardella (un immigrant italien).
Parmi ceux qui menacent la société dans son ensemble figurent des fauteurs de haine comme Morano, Bardella, Jacobelli, Dupont-Aignan et Zemmour. Selon un spécialiste qui s’occupe des migrants depuis sept ans, si de nombreux réfugiés évoquent la cruauté qu’ils ont endurée pendant le voyage, rares sont ceux qui évoquent la vente de leurs enfants.
Lorsque Bedos l’a qualifiée de « conne » et a perdu au tribunal, nous l’avons tous remarqué ; après son précédent reportage, Morano a été qualifiée de « mythomane » et de « sale » en ligne. Je pense que c’est une échappatoire que de qualifier Morano de « menteur » ou de « fou » et d’ignorer le problème sous-jacent.
Ils devraient être poursuivis pour atteinte à l’ordre public avec leurs propos ignobles, diffamatoires et dégradants à l’encontre des migrants. Si un procureur voulait porter plainte contre elle, ou si une organisation comme une ONG ou un club le voulait, qu’est-ce qui les en empêcherait ? Nous ne tolérerions pas ses propos si même une petite partie d’entre eux visait à rabaisser les Juifs.
Une société démocratique ne peut se permettre de garder le silence face à des allégations aussi graves. La plupart du temps, les journalistes de télévision ne répondent pas, laissant ainsi proférer les plus gros mensonges puisqu’ils ne sont pas préparés aux interviews. Nous qui défendons la justice sociale et les valeurs républicaines ne pouvons pas laisser cette haine se déchaîner, même si la tendance à l’extrême droite se poursuit.
La députée (et ancienne députée LREM) Violette Spillebout du parti Renaissance utilise fréquemment le terme « une » OQTF, qu’elle traduit par « un ordre de quitter le territoire », dans l’épisode C Politique précité. Assez inattendu pour quelqu’un qui avait un accès privilégié à l’ensemble et qui était censé être un expert en la matière.
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